THE NIGHT OF THE NIGHTS
Je n'allais tout de même pas me contenter de vous faire saliver avec l'Avant-Nuit des Aiglons quand la nuit en elle-même fut tout simplement... ENORME !!
Tout commence bien.
Les gens sont beaux, les robes de princesse virevoltent ici et là (il y avait même des cerceaux !!), je suis aux bras de mon cavalier, qui salue absolument tout le monde, et s'arrête toutes les 2 minutes pour me présenter à telle ou telle personne quand il n'a pas le téléphone greffé à son oreille droite... Classique. La salle se remplit de plus en plus... Je suis dans un autre monde... les bouteilles de champagne circulent et nous remplissent, nous et nos flûtes, de bonheur... Je retrouve des visages connus, mes pilotes à moi, la brigade 2 chère à mon coeur, un peu de la 1, et de la 4 aussi (Jeanjean, Thibault, spéciale dédicace!)... Ils sont tous tellement beaux ! Vêtus soit de leur Spencer, soit de leur buque (c'est ça Guillaume ?). Je me fonds dans l'événement, quand soudain, Guillaume m'appelle, il faut absolument que je rencontre quelqu'un. Je pose donc ma flûte de champagne, revêts mon étole, lui tends la main et nous y allons, je le suis... Et là... En fait, les rôles se sont inversés. Je crois que c'est moi qui en fait était censée faire les présentations. Car en marchant, j'ai croisé un regard. Deux regards. Et là, je m'arrête. Je regarde Guillaume, qui me sourit. Je retourne la tête vers deux charmantes demoiselles, là-bas, qui me sourient aussi (et doivent se moquer doucement aussi de la mine surprise que j'affiche).
Cécile et Jessica sont là !
Cécile nous avait avertis dans un commentaire sur ce blog, et elle l'a fait ! Elle était là ! Inutile de dire que je ne les ai pas vraiment souvent lâchées de la soirée. Je n'avais pas revu Jessica depuis des années (je n'ose même pas compter), et c'est drôle de savoir que nous avons suivi vraiment des parcours parallèles, l'une à Audencia, l'autre à l'ESC Grenoble... Et nous sommes toutes deux tombées en amour avec le category management, sans concertation aucune. Bon d'accord, j'ai parfois été amenée à me reculer de quelques centimètres de ma chère Cécile. Pourquoi ? Oh bah pour rien... peut-être parce qu'elle s'est retrouvée par moments en très charmante compagnie... Je dis ça, je dis rien ! Cette soirée aura fait quelques heureux dans son sillage... Au moins une et un en tout cas (pour la sécurité des deux personnes concernées, je me vois dans l'obligation de censurer toute photo qui aurait pu éventuellement immortaliser leur écart physique).
Pas mal de craquages également... Un appel impromptu que j'ai passé à l'ex de Cécile pour le rassurer sur le fait que Cécile était entre de très bonnes mains... j'ai cru comprendre que mon message avait eu l'effet de 10 000 post-its combinés ensemble ! C'est fait aussi pour ça les amies !
Je pourrais vous dire et vous redire en quoi cette soirée fut assez monumentale dans son genre, mais je pense que parfois les images parlent d'elles-mêmes. La musique était top, le champagne était bon, l'ambiance était à point, les fous rires entre amis au rendez-vous, les discussions, profondes (ça, c'est surtout en fin de soirée !), les rencontres parfois improbables, surtout quand il s'agit de jeunes pilotes espagnols... malheureux jeunes hommes qui ont véritablement risqué leur vie chaque fois qu'ils m'adressaient un mot... C'est bien simple... un certain Ponsot rappliquait tout de suite, marquait son territoire par un bras, jeté là, innocemment, fortuitement, autour de ma taille, et doucement me tirait à lui, tout doucement... jusqu'à ce que je sois obligée de congédier mes charmants interlocuteurs qui pourtant étaient ravis de trouver enfin quelqu'un avec qui parler leur langue natale ! Je crois que mon chéri est un peu jaloux. Je ne fais que subodorer.
BREF, une excellente soirée ! Finalement, femme de pilote, ça a du bon...
Je ne sais pas pourquoi, j'adore cette photo... Minette, tu es à tomber par terre avec ton regard de braise !
Ci-dessous, quelques hommes du Mas des Agranas : Mim's, Papaye et Ponsot.
Ci-dessous, quelques femmes du Mas des Agranas : la femme de Ponsot, la femme de Papaye, et la femme de Mim's.
Dam's et Ponsot, parce que vous le valez bien :
Chagasses, nous ? Nan mais un peu de respect je vous prie...
Quoique là.... De toute façon, vous ne pouvez pas comprendre... l'intensité des retrouvailles après une si longue absence, ça excuse tout ! On n'a qu'une vie !
Et pis d'abord, c'est eux qui ont commencé !
La solidarité militaire prend ici tout son sens... Ces hommes de la patrie partagent tout, jusqu'à éventuellement quelques sécrétions salivaires.
Fort heureusement, les choses reprennent toujours leur cours normal. Quand tout rentre dans l'ordre, ça donne ça :
Et puis ça bouge son corps sur une piste de danse aussi :
Aaaaaaaaaaaaaah ! Quelle soirée ! A 6 heures du matin, on aurait presque voulu qu'elle continue encore...
Merci à tous pour ces jolies émotions.