La traîne sauvage : deuxième édition.

Publié le par Lucie

I won't beat about the bush :


JE CAPOTE BEN RAIDE, 'STIE QUE C'EST HOT LA TRAÎNE SAUVAGE !!!!!!




Qui dit température ambiante moyenne de -20°C, dit bien évidemment, glace tenace. En temps normal, la glace peut se montrer très fourbe et pernicieuse, ayant fait de la fracture de nos frêles coccyx le but de sa vie saisonnière. Mais quand elle permet la glisse, alors là, la glace n'est perçue autrement que comme le partenaire officiel du bonheur humain en ce bas-monde. Il n'y a pas d'âge qui tienne, chacun revient avec plaisir au temps de l'enfance quand il s'agit d'enfourcher une luge pour dévaler ça : 


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Le Saint-Laurent à perte de vue... le surplombant Château de Frontenac... une pente bien raide... Que demande le peuple ? Ni une, ni deux, Jérémy, Sébastien et moi nous sommes munis d'une belle luge, parquée tout naturellement en contrebas de la terrasse Dufferin. 



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Le Vélib parisien peut aller se rhabiller, nous on a les luges !!! Et au niveau des sensations, j'aime autant vous dire que... Non, je me tais !
 

Laissez-moi vous montrer plutôt :


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Yaaaaaahoooooooooooooooooo !



Croyez-moi sur parole, ça vaut le coup d'avoir les fesses toutes mouillées en se relevant. Chaque année la ville de Québec nous sert cette pente sur un plateau d'argent, et chaque année, on resigne pour se glacer les miches au sens propre.

La cerise sur le sundae : faites exprès de découvrir comment arrêter la descente de la luge à deux secondes de foncer sur un tas de neige, et votre montée d'adrénaline sera encore plus forte.



A bientôt pour de nouvelles aventures !



Post-Scriptum : Comment diable parvenir un jour à dire adieu à cet hiver quasi-boréal ? C'est au-dessus de mes forces...

Publié dans L'HIVER QUEBECOIS

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